Une balade, tout simplement ^^

Cylia avait quitté les Terres de l'Air pour aller sur celle de la Nature. Les créatures de la Terre lui adressait la parole, mais Cylia ne comprenait rien. Certains avaient essayé de lui parler par télépathie, mais elle ne comprenait toujours pas. Elle était étrange pour certains, mais la créature ne voyait pas ce qu'il y avait de bizarre. Mais elle était comme ça depuis sa transformation. Elle s'était réfugiée à Swilyara, ayant peur de tout humanoïde. Là, elle se rendait à la Grande Crevasse pour s'entraîner au vol. C'était si amusant, elle aimait éviter les obstacles qui étaient devant elle.

Cylia marchait lentement dans la Forêt du Printemps, c'était si agréable. Des petits papillons volaient partout, les Elémontes de la Lumière s'amusaient entre eux et souvent fixaient la créature qui marchait tête basse. Des pétales de fleurs de milles couleurs tombaient des arbres, Cylia s'amusaient à passer en dessous et à secouait ses ailes blanches. Le soleil brillait, ce n'était qu'encore que la matinée, une matinée de printemps dans cette forêt. Mais il y avait plus il n'y avait pas longtemps, car Cylia avait remarqué des flaques d'eau et d'autres de boue. Elle sauta dans l'eau en évitant la gadoue. La route était assez longue pour aller à la Grande Crevasse.

Elle arriva près d'un grand bassin, elle mit une patte dans l'eau qui était assez fraiche. Cylia but un peu avant de reprendre la route et mangea un des mûres. Elle ne mangeait jamais de viande, elle pensait que tuer un autre être était monstrueux. D'abord, elle se demandait s'il y avait des humains sur ces terres ou autres humanoïdes, elle avait peur d'eux et n'espérait pas en voir un ici. C'était si paisible, enfin, sauf qu'il y avait des combats entre différentes espèces. Comme la semaine dernière, elle avait vu un Magicano de l'Air se battre avec un Magicano du Feu. Les deux, étant du même niveau, avaient été épuisés. Quand Cylia allait sur les Terres de la Nature, certaines créatures savaient qu'elle était agressive quand on la cherchait, donc, on ne l'embêtait jamais et ne lui parlait jamais. Des foi, elle regrettait d'être comme ça, elle n'avait aucun ami car elle ne comprenait personne et personne ne la comprenait.

Cylia se posait des tas de questions, elle avait hâte d'être à la Grande Crevasse. Quand est-ce que j'arrive ? Se disait-elle, c'est si loin que ça ? Il y a encore combien de kilomètre ? J'espère arrivait avant midi... et blablabla... La jeune créature monta dans un arbre pour regarder si elle était loin. Oui, elle en avait pour longtemps. Mais bon, elle se disait qu'il n'était pas désagréable de rester dans cette forêt. Mais elle sentit une présence, elle ne savait pas si c'était bon ou mauvais...

[J'aimerais que c'est quelqu'un qui sait faire de grand et beaux RP qui me répondent.]

Pourquoi etait elle venue ici? Elle meme se le demandait. Ce n'etait pas une terre qu'elle affectionnait particulierement. Au contraire, elle avait de biens mauvais souvenirs de cette contree... C'etait un pays libre, qui ne voulait pa setre avec Nelta, ou Omlid. Et pourtant lui aussi avait ete ravage par cette guerre impitoyable. Tap.. Tap .. Tap... De petits pas, tout simplement, des pas lents, qui faisaient rouler des petits cailloux sur le bord de la route. Elle avait un air sombre, si sombre.. Pourtant la Nature etait si belle... Si enchanteresse... La magicienne ne sentait pas cette euphorie ambiante, le chant joyeux des petits oiseaux la laissait de marbre. Elle finit par arriver a cet endorit.. Cet endroit maudit... Un bassin, tout ce qu'il y a de plus simple. Elle s'assit a cote, et de ses mains endurcies par les batailles, elle creusa.

Elle creusait vite, et bien, mais il fallu qu'elle creuse longtemps, avant de trouver ce qu'elle voulait. Enfin.. elle ne voulait pas, elle ne voulait pas voir ca. Mais une sorte de force invisible la poussait a deterrer cet objet.. Lorsqu'elle le vit, les larmes vinrent aux yeux de la guerriere, de la magicienne qui avait renie ses pouvoirs... De cette femme qu'on ne pensait pas qu'elle savait pleurer.. Elle commenca a pleurer, a chaudes larmes... Pourquoi etait elle venue? Pourquoi? La Zafara gemit

"Pourquoi?.. Pourquoi?......"

Ces paroles avaient ete prononcees comme si c'etait une ame en peine, une ame qui ne trouverait plus le sommeil qui disait cela.. A vrai dire, on pourrait plutot dire que c'etait une ame damnee, une ame qui avait fait un pacte avec la Mort... Elle continuait de pleurer, tout en creusant, et finit de deterrer l'objet. elle le sortit tout doucement de terre... C'etait un petit rocher, lisse, blanc, qui ne semblait rien n'avoir de special.. Il y avait une inscription.. Elle commenca a la lire, mais ses larmes redoublerent. Elle laissa tomber le rocher qui s'ecrasa au fond du trou, et reboucha, les yeux hgards, eprdus, elle semblait completement deboussolee, perdue... Quand elle finit de reboucher le trou, et se prit la tete dans les mains, et pleura doucement, quelques minutes. soudain elle entendit un craquement, venant d el'un des arbres. Elle tourna la tete, essuyant ses larmes, a la vitesse de l'eclair, et portant sa main au Dragon d'Argent, son sabre qu'elle affectionnait tant

"Qui est la?"

Elle se leva, finissant d'essuyer ses larmes, son pelage restant legerement humide, mais sechant vite. Elle lanca un regard a la ronde, les sourcils fronces, un peu plus sur ses gardes tout d7un coup. Elle evitait du regard ce trou rebouche, cette terre fraichement retournee.. Elle ne voulait plus l'approcher. Plus la voir, plus y penser... Non... Non... Plus maintenant... Pouruqoi etait elle venue ici?.. Elle se le demandait encore.

[[ca va comme ca? ^^]

[ dsl Sara, j'avais déja fini mon message avant de voir que tu avais poster avant me ^^, alors j'ai rajouter un petit plus à la fin de mon message... ]

Pas loin de l'arbre où était perché la jeune Cylia, une imposante créature ailé volait aux travers des nuages. C'était Pelarïn, le prince de l'azurs. Un grand et majestueux cheval ailé au regard profond et intimidant.
Le prince planait dans les airs, tête haute, battant des ailes avec souplesse. De loin, on voyait bien que le pégase n'était pas n'importe qui, car il avait cette façon de ce tenir qui montrait bien qu'il n'était pas ordinaire.
Son pelage blanc était lumineux et attirait les regards de tous ceux qui gambadais joyeusement parmis les fleurs de la Terre de la Nature. Certain ce demandait ce qu'un être pareil qui reflaitait toute la royauté pouvais bien faire dans cette terre. Il était vrai, qu'il n'était pas dans les habitudes de Pelarïn de venir se ballader à Swilyara, mais le prince, qui était mine de rien assez curieux, n'avais pus s'empêcher de venir rendre une petite visite à cette terre qui lui était encore inconnus.
Il était émerveillé par la beauter des paysages des Terres de la Nature. C'était pour lui, un petit paradis, où l'ont trouvait forêt, fleurs et champs. Et aussi un endrois où tous les moindre souscis s'éffaçaient lorsque l'ont se perdait dans la flore.
Pelarïn s'apperçus qu'il n'y avais pas grand nombre d'humain dans les parages. Il n'en chercha pas la raison. Ces terres pouvaient bien être réserver à d'autre sorte de créatures magiques.
Le prince du ciel sourit en voyant deux petits élémontes du feu jouer dans un tas de feuillages, au pied d'un arbres. En réalité, ces terres lui rappelaient beaucoup Fabulya et son magnifique pays : Nelta.
Nelta manquait vraiment à Pelarïn, car le cheval ailé y avait passer un grand moment de sa vie et s'était mine de rien attaché à ce royaume. Mais le voyage était sa façon de vivre, et il n'avais pus rester que quelques mois là-bas avant de reprendre son chemain en quête d'aventures...

Le prince observa la forêt et apperçus un petit coin où les arbres n'avaient que peux poussés. C'était l'endrois idéal pour aller se poser.
Pelarïn fit alors un piquer magestueux et fit poser en douceux ses sabot d'or sur la terre seche.
Il fixa les environ sans prononçé un mot, puis avança lentement au travers de la forêt. Il avait bien envie d'aller visiter d'un peux plus près les environs.

* Jamais je n'ai vu une terre aussi dense en feuillage... * Pensa le prince avec l'ombre d'un sourire.

Il s'arrêta et tendis l'oreille pour écouter le chant d'un bel oiseau multicolore qui était perché sur une branche proche. La mélodie était belle à écouter, mais aussi triste. Et Pelarïn ne puis savoir pour quel raison...
Le petit oiseau s'arrêta enfin, puis regard le prince de ses petits yeux noirs. Il eut un long silence pendant lequel les deux créatures s'observèrent, puis l'oiseau battit doucement des ailes pour s'envoler dans le ciel cristalin.

- Vol bel oiseau, murmura Pelarïn en regardant l'endroit où la créature avait disparus.

Soudain, le cheval ailé s'immobilisa. Il avait senti une présence. Comme si une autre personne était très proche de lui. Le prince resta immobile pendant quelques minutes, puis ouvra finalement le pas à la recherche de cette autre personne.
Il marcha pendant une bonne minute avant d'enfin apperçevoir Cylia, assise sur sa branche d'arbre.
Pelarïn la regarda un instant, puis s'avança enfin en parlant d'une voix profonde.

- Bonjour bel enfant...

Mais le prince sentait encore qu'une autre personne était présente. Cylia n'était pas la seule à être sur ces terres...

Cylia regardait le ciel, elle vit un cheval ailé travers le grand azur. Le Soleil était presque au Sud, il était bientôt midi et la créature des cieux commençait à avoir faim. Elle sentait une présence qui était sur terre, elle regarda en bas, elle n'avait pas jamais vu cette créature sur Swilyara. Elle ne préféra pas bouger, elle avait peur de cette Zafara, était-elle méchante ? C'était un humanoïde ? Elle marchait sur deux et Cylia se méfiait aux bêtes qui marchaient sur deux pattes, craignant que ce soit des Humanoïdes.

Cylia sentait une branche qui lui faisait mal à son aile, elle était mal installée. Elle bougea doucement, elle entendait des pleurs. Elle jeta un coup d'oeil en bas, cétait la Zafara qui était triste, elle se demandait pourquoi. D'abord, elles n'arriveront pas à se communiquer entre elles, car la Zafara n'était pas une créature de l'air. Elle était bleue et très jolie, grande et mince. Ses cheveux étaient bleus foncé et ses yeux plus clair par contre... Cylia commençait à bouger pour mieux se mettre, mais un branche craqua. La créature resta immobile et bougea doucement, mais la branche tomba au pied de Sara, Cylia ne l'avait pas réussi à l'attraper. Maintenant qu'elle était repérée, elle commença à descendre tout doucement, mais elle se coinça les pattes arrières dans les liannes. Son dos sa claqua au sol, Cylia gémit de douleur. Elle vit alors un Pégase, son pelage blanc lumineux à la lumière du soleil. Il avait un air vraiment majestueux, ainsi que sa voix. Elle comprenait les mots du prince, mais pas ceux de la Zafara, elle n'entendait qu'un son, mais pas les paroles.

Cylia était sur le dos, elle regarda le prince, un peu gênée, elle lui sourit et émit un ronronnement doux, semblabe à un roucoulement de pigeon. Elle émit un son doux pour dire bonjour. Puis, elle bougea ses pattes arrières pour dégager la lianne qui l'avait accrochée, elle avança ses pattes jusqu'à sa patte pour donner un coup de dents, elle réussit. Cylia se leva et se secoua, ne voulant pas avoir de la poussière sur son plumage blanc. Elle vit Sara, elle ne savait pas qu'est-ce que c'était, d'où elle venait et qu'est-ce qu'elle allait lui faire. Elle se cacha derrière Pelarïn.

(Qui est-ce ?)

Bien sûr, il n'y avait que Pelarïn qui pouvait l'entendre, car Cylia savait communiquer avec les créatures de l'air, donc, c'était au prince de traduire ce qu'elle disait ! Cylia regarda le paysage pour se rassurer, l'épée de Sara lui faisait peur, c'était avec ça que les humains voulaient la tuer une fois quand elle était sur Fabulya, elle avait peur, elle tremblait, mais ce n'était pas trop voyant, il était facile de faire peur à Cylia...

La Zafara regarda tour a tour les deux creatures, perchees dans l'arbre. Un cheval dans un arbre? Wahou on voyait de tout ^^ C'etait un cheval aile, blanc comme neige. Elle en avait deja vu, dans l'armee Nelteinne, du temps de Xiao. Elle regarda ensuite l'autre. Une fille aux cheveux blancs, tres pale et qui semblait tres timide.. Elle les contempla, un moment. Elles etaient vraiment etranges, ces creatures.. Toutes les deux blanches, elles semblaient descendre du ciel, envoyees par un dieu quelconque. Pas de bol elle ne croyait plus en rien. elle avait vu trop d'atrocite, elle avait vecut tant de choses horribles qu'elle ne pouvait plus croire en une entite comme un Dieu. Elle pensait que Arielle etait une Zafara aux immenses pouvoirs et au pouvoir d'etre immortelle, et non comme une deesse. C'etait juste un titre, pour elle. Elle ne croirait pas en Arielle comm en un vrai dieu, ne ferait pas de priere ni rien.

Elle repondit au cheval aile, mais ne baissant pas sa garde

"Je m'apelle Sara."

Bien sur Sra n'etait qu'un pseudonyme sous lequel elle se cachait.. Pas question de devoiler son vrai nom. Elle le cachait depuis plusieurs annees.. Ainsi, elle ne risquait rien.

[desolee c'est court mais j'ai aps trop de temps, je voulais pas vous faire attendre
encore desoleeeee ><]

[Cylia est sous forme de créature (celle que tu vois dans ma sign')]

Cylia était derrière Pelarïn, elle ne pouvait pas parler à cette créature bleue aux longues oreilles pendantes. Elle sentait qu'elle n'était pas un animal de l'air. La créature regarda le cheval ailé, mais elle était trop timide pour lui demander qu'elle ne la comprenait pas. Cylia s'avança vers elle, elle voulait tenter le coup mais de toute façon si Sara allait l'attaquer, la créature des cieux allait se défendre grâce à ses pouvoirs de l'air. Cylia émit un cri doux, un cri de peur. Elle battit des ailes, puis elle se tourna vers Pelarïn.

(Je ne pense pas qu'elle soit méchante, mais je ne sais pas...)

Cylia était sûre que Sara n'était pas agressive, si elle y était, elle les aurait attaquer ou les envoyer balader. Mais la créature alla derrière Pelarïn puis elle s'avança à côté de lui. Elle émit un autre cri doux et interrogateur.

[Moi c'est pas mieux ^^']

Sara regardait les deux creatures.. Elle ne bougeait pas... Elle touchait nerveusement son arme... Sans la deegainer. trop peur peut tre? Non,elle voulait d'abord etre sure que les creautres etaient gentilles... Mais finalement, elle regarda le soleil. Il etait deja tard. Elle devrait etre rentree... Elle etait venue ici, elle ne connaissait meme pas la raison de sa venue... Mais elle etait venue, alors qu'elle ne voulait pas.La terre fraichement retournee etait tres visible... Elle s'eloigna des deux etres... Elle les salua simplement d'un regard et un hochement, et partit, calmement comme elle etait arrivee

@desolee c'est hy@er court et en plus je m'en vais ^^' desolee xD]

Cylia mangea des petites mûres. Il fallait prendre des forces avant de faire quelques exercices dans la Grande Crevasse. Un endroit apprécié par toutes les créatures de l'Air qui étaient capable de voler. Il y avait des tas d'obstacles, mais certaines créatures se prenaient souvent des branches dans la tête (XD). La créature des Cieux volaient souvent dans le ciel pour admirer le paysage de Swilyara, malgré les guerres entre les territoires. Elle se laissait souvent emporter par le vent à la Plaine des Vents qui étaient même sur les Terres de l'Air, ses Terres qu'elle habitait maintenant depuis quelques années. Elle n'était pas née à Swilyara, mais à Fabulya. Comme il y avait trop d'humains, elle décida de s'envoler vers Swilyara. Mais revenons où Cylia était avec Pelarïn, même si elle ne connaissait pas l'identité de celui-ci.

La Grande Crevasse est un endroit qui est apprécié par toutes créatures de l'Air. Là-bas, nous faisons des exercices en évitant des obstacles qui sont devant nous. On fait souvent des concours là-bas. C'est tellement magnifique !

Cylia avait souvent rencontré des personnes agressives et qui voulaient la tuer parce qu'elle n'était pas une créature comme les autres. On l'insultait d'idiote parce qu'elle était muette et ne savait pas parler par télépathie avec les autres créatures que ceux de l'Air. Elle n'avait pas vraiment d'amis, certains périssaient pendant les guerres...

(C'est court ><)

[ Pas r'ave ]

Pendant les expliquation de Cylia, le Pégase essaya d'imaginer la Grande Crevasse dans sa tête... Elle devait être magnifique et il avait de plus en plus hâte d'y aller. Il pensa aussi que cette terre n'avais pas l'air d'avoir connus de guerre tant elle était belle, enfin, les apparençes pouvaient bien être trompeuses mais le prince ne pouvait s'empêcher de penser à cela... Il vit dans sa tête Nelta et Omlid qui étaient toujours en guerre. Impossible de songer à une paix avec ces deux là, en tout cas, il pensa très fortement que les terre de Swilyara devaient regorger de beauter ou de mystères. Il était fort étonner de ne pas en avoir trop entendus parler à Fabulya. Les habitants ignoraient t-ils l'existence de ces terres ? Cela pouvais bien être possible, car certain ne voyageaient pas et par concequent ne savais rien du monde exterieur...
Pelarïn leva les yeux vers les nuages... Ceux là étaient aussi beaux... Leur formes étaient gracieuses et ils avançaient doucement, porter par un léger vent d'Ouest. Rien n'était plus beau que le ciel aux yeux du prince qui avait toujours aimer cette étendu bleutée couverte de nuages... Il admirait cela car il avait été crée ainsi. He oui, Pelarïn était née de plusieurs types de nuages, mais aussi de tous les élément météorologique comme la pluie ou les éclairs. Son père en quelques sortes était Céosus, le dieux du ciel. Et c'était lui qui avait crée le prince des cieux... Mais Pelarïn ne connaissais pas très bien l'histoire de sa naissance, il n'en avait que vaguement entendus parler par Céosus ou encore d'autre personnes.
Le chevale ailé fin par retouner ses yeux argenter vers Cylia et lui demanda.

- Quand penssez-vous que nous pourrons aller à la Grande Crevasse ?

Ils partirent tous deux environs une heure après avoir s'être bien rempli l'estomac. Pelarïn vit donc la Grande Crevasse et s'en emerveilla, c'était très beau ! Et il y avait beaucoup d'autre créatures qui s'y trouvaient, comme l'avait dit Cylia, beaucoup faisaient des courses.
La journée passa ainsi, et le soir arriva. Le prince ailé décida que l'heure était venu pour lui de partir car il avait d'autre projets à terminer, mais il promit à Cylia qu'il reviendrait un de ces jours.

C'est la nuit tombante, qu'il s'envola pour aller là où le vent le porterais...