Niiz,Nolshira,Zemora! Et vous ?

Prénom : Nolshira [nol-chi-ra]

Second : Zémora [zé-mo-ra]

Surnom : Niiz [ni-iz]

Espèce : Zafara

Rang désiré : Déesse des quatre vents

Age : Sept ans, environ.

Sexe : Féminin

Continent : Fabulya

Date de naissance : 1374 (dans les derniers jours de l'été)

Lieu de naissance : Une ville vite nommée Mérégua, mais souvent appelée «la cité sous la glace». On en entend parfois parler à la surface, mais juste de vagues allusions très enjolivées de légendes.

Famille : Mère: Clioma, zafara bleu ciel, cousine d'Arielle, apparemment disparu depuis 1377.
Père: Shile, magicano, dit disparu à la même date.

Pouvoirs : Magicana, elle contrôle l'air et le vent avec une grande aisance mais est dite «affaiblie» car, même si pouvant utiliser la télépathie, elle n'arrive à rien ni en téléportation, ni en lévitation, ces deux dernières capacités ayant disparues à la suite de sa chute dans le lac.
Elle peut voler sur de courte distance et faire apparaître-disparaître ses ailes, larges et puissantes.
La petite a aussi un grand sens de l'orientation, incapable de se perdre où que ce soit, elle retrouvera toujours son chemin, même dans les dédales du plus tortueux des labyrinthes qu'elle n'aurait pas visité.

Caractère : Un peu têtue et capricieuse, Niiz reste surtout joueuse, même si rancunière. Si elle n'a pas le derniers mot, elle se met vite à bouder ou à pleurer. Elle est curieuse et touche-à-tout, plutôt attachante et parfois lunatique à un si haut point que cela en devient déstabilisant ; elle a un léger dédoublement de personnalité, ni étant pas pour rien, qui ne se fait pas plus remarquer que ça. Ce dernier peut combler ses instants de solitude et Niiz met toutes ses bêtises sur le dos de cet autre quand elle en a l'occasion, allégeant sa conscience. S'il fallait lui donner une raison de vivre, ce serait pour faire sourire les autres ; leur état d'âme est extrêmement important pour la petite, qui a bien trop facile à céder à la compassion, bien que rarement à ce qu'elle appellerait de la pitié. Étourdie, elle aimerait parfois disparaître pour laisser les autres vivre, les observer pour enfin se faire un jugement quant à leur personnalité. Chaque personne qui lui manifeste un rien d'affection compte plus pour elle que tout au monde ; elles sont toutes un repère dans sa vie.Généralement passive et peu querelleuse, elle appréciera les activités calmes et sera capable de supporter critiques, insultes et autres provocations des heures durant... juste avant de laisser éclater sa colère au nez du premier malchanceux qui l'approchera. Sa timidité et sa discrétion lui sont faciles à oublier lors de fêtes, par exemple, où elle aura tendance à aller chercher la compagnie de tout le monde, et tout particulièrement de ceux qui ressortiront le plus de la foule.
Le monde l'appréciera surtout pour sa vivacité, son sourire et sa compréhension.

Physique : Svelte et assez petite pour qu'une poussée de croissance ne soit pas de trop, elle reste assez bien proportionnée.
Son corps est couvert d'une fourrure épaisse, d'un noir brillant, sur laquelle la neige glisse avec une grande facilité, ce qui lui procure un assez bon avantage de déplacement dans la poudreuse, comparé à certains de ses confrères. Bien que pratique dans ces conditions, son poil ne lui est pas d'un très grand service au cours de saisons chaudes et sèches, où donc elle préfèrera paresser tout au long de la journée et attendre la nuit avant de dépenser tout son concentré d'énergie. Ses poils, généralement noirs, s'éclaircissent autour de son museau, en quelques taches sur ses longues oreilles sombres fourrées de poils d'un blancs lumineux et sur son ventre. Leurs pointes, à certains endroits, réfléchissent la lumière avec une étonnante facilité, ce qui peut parfois être handicapant lorsqu'il vaut mieux passer inaperçu.
Elle a de grands yeux en amandes aux iris couleur violacés aux reflets sombres. Leurs couleurs peut varier pour devenir d'un jaune-orangé, rappelant facilement l'ambre. Ce changement est dû au passage de la nuit sur le jour, on en déduit donc que cela est peut-être l'action du rayonnement de la lune, différent de celui du soleil.
Ses crocs sont aiguisés et griffes, et ses épines dorsales ont finit par se montrer, le long de sa colonne vertébrale. D'un gris pâle, presque blanc, et fines, elles ne se redressent que sous la colère.
Sur les omoplates de la jeune zafara, toujours dévoilées par de légers décolletées dorsaux, ont peut y voir le symbole de l'infini, formé par un ensemble de poils argentés : un petit huit à l'horizontale, dont chaque boucle est mise en valeur par un cercle à son centre, à l'emplacement précis où les ailes de la magicana se déploient. D'une grande envergure en rapport à sa petite stature, leurs plumes sont immaculées, angéliques, contrastant grandement avec son poil sombre, elles ont des muscles assez puissants pour pouvoir lui permettre d'assez longs voyages.
Étrangement, sa fourrure dorsale est l'exacte réplique d'un ciel de nuit : sombre, les poils qui y sont les plus scintillants représentent chacun une des étoiles pendue à la voûte céleste.
Elle aime les bracelets et s'accrocher des breloques aux oreilles.

Histoire :
Tout commence bien avant la naissance de Niiz.
Nous somme à Neopia et plus particulièrement à Nascarian.
Une sorte de prophète crie au milieu des villageois une prémonition apocalyptique. Il propose un échappatoire ; l'exode vers la terre protectrice, tout au Nord. Beaucoup le prenne pour un fou suicidaire, car plus au nord que Galacocy, il ne s'agit que d'un désert de glace et de roc.
D'autres, moins nombreux, sont pour l'idée de partir en exploration vers ce «monde inconnu».
Mais le «prophète» ne représente pas une grande menace pour le moment, et le petit voyage de quelques habitants non-plus, alors, pourquoi s'inquiéter ?
Un petit couple de deux zafaras pourtant va essayer de mettre cette situation au clair, pour éviter la mort de tant de personnes, même si leurs voix n'avaient pas la même importance que celle de plusieurs dizaines de ces Nascarians, rejoins d'une poignée de Néopiens ayant entendu parlé du mystérieux voyage qui se préparait. Ils s'appelaient Shile et Clioma.
Le voyage se fait sans peines aux début, puis doucement les troupes se fatiguent, s'agitent. Le froid les rongent.
Les plus naïfs ou courageux gardent bon espoir d'atteindre les «terres» qui les protègeront du désastre prédit.
Mais le temps passent, les jours, les semaines ; ils ne savent plus, la brume glaciale générée des tempêtes de neige les figerait presque et leur cache le soleil.
Ils ont depuis longtemps dépassé Galacocy et quelques uns ont abandonné les troupes pour y rester. Au loin, on pouvait apercevoir des montagnes.
Mais tout le groupe est épuisé et quelques jours de repos sont les bienvenues, alors ils s'en retournent et se reposent à Galacocy quelques temps. Ce n'est que partie remise.
Lorsque les voyageurs sont à peu près remit du voyage, certains se remettent en route vers les montagnes.
Une fois arrivés à leurs pieds, plusieurs partent en reconnaissance.
Dès leur retour, on apprend l'existence de grottes et tous le groupe s'y enfonce.
Chaque chemin s'étire de plus en plus profond sous la glace. Une eau glaciale circule en petites rivières pour terminer en une sorte d'immense lac souterrain.
En quelques mois, un petit village s'établit sous le roc et la glace, flottant à moitié sur l'eau du lac et reposant sur la rive près des galeries.
Plusieurs d'entre-elles s'effondrent rapidement, coupant toute communication externe.
Le temps passe et rien ne change ; d'un côté l'on cherche une galerie non-encombrée, de l'autre, on explore le lac. Ce dernier est trop froid pour y nager mais si l'on est brusquement saisit d'un accès de témérité, l'on peut espérer mourir dans les premières minutes.
Le temps s'écoule doucement. Les eaux ténébreuses du lac, trop sombres et trop vastement étendues, sont vite ignorées pour les recherches et l'on préfère y pêcher. Comparé au désert de glace et de neige du dehors, la température est respectable et la vie pouvait y être agréable si on ne prenait pas en compte les hivers parfois terribles et l'absence de végétation. Beaucoup regrettent Nascarian, Néopia et ces contrées herbeuses. Ce ne fût pas le cas d'une toute jeune zafara qui vient à naître, entre l'été et l'automne, personne ne le saurait vraiment, sous cette glace aux tonalités si pâles, blafardes. C'est la jeune fille de ce couple, qui avait suivit tout ces gens partis en exode, ces deux zafaras qui se prénommaient ciel et or. Elle n'a pas leur pelage clair, mais de nombreuses tâches brillantes parsèment son poil noir et l'égaillent un peu. Les deux parents voient une marque étrange à son dos, une sorte de petit 8 dont les cercles traversent les omoplates. Peut-être une magicana, mais la marque est claire, blanche. Peut-être pas, dans ce cas... l'enfant ne paraît pas avoir non plus de facultés particulières... mais c'est qu'ils se trompent, en ce jour, tous...
Les ans passent. Seulement quelques années, mais la petite Nolshira a déjà bien grandit. Zemora, l'appelle-on aussi, à cause de sa paire d'ailes qu'elle se fait une joie d'étendre dès qu'elle en a le soudain désir. Une petite zafara vive et pleine de vie, qui rend plus joyeuse la petite ville de glace. Mais il lui arrive bien souvent de se montrer un peu trop curieuse ou bien active, on l'a juge finalement assez turbulente pour la situation. Elle est aussi grande bavarde, pour son âge. Beaucoup de ses phrases étaient incompréhensibles mais tous se font une joie d'écouter cette zafara si jeune donner son avis sur tout et n'importe quoi. Si elle aimait bien une robe, elle le disait haut et fort, si elle était accusée à tort, elle croisait les bras en murmurant des choses sans queue ni tête.
Voilà la petite Nolshira, déjà grande parleuse, mais aussi la grande timide qui restait éloignée de tous les autres jeunes zafaras et les évitait en se cachant dans des lieux tous des plus farfelus.
Au fil du temps, les vivres deviennent rares et l'ont craint alors la mort des plus jeunes.
Nolshira ne les comprend pas, assise seule sur le coin d'un banc, suçotant distraitement son pouce, l'air tranquille, mais elle fait désormais partit de ceux qui auraient accès aux vivres en priorité.
Un jour de crise, d'étranges personnes viennent du lac. L'on espère alors une sortie. Ils sont l'espoir, pourtant évanescent, l'on les oubli vite : ils ne sont visibles qu'à l'heure de leur arrivé et finissent par s'évanouir à l'angle d'une ruelle, sans que personne n'eut réussi l'exploit de leur souhaiter le bonjour. Ils sont pourtant réels, on le jurerait...
Mais de plus en plus d'étrangers arrivent, et attaquent aléatoirement les villageois. Ces actes prennent de plus en plus d'ampleur et les Maranians tentent de s'échapper là où les étrangers sont entrés.
Nolshira n'en dors plus. Même sans comprendre ce qu'il se passe, son sommeil en était troublé. Elle avait toujours tout pris sur le jeu, l'idée de tels actes ne lui traverse même pas l'esprit. Le soir, elle entend parfois des cris apeurés, sans jamais penser pour autant qu'il s'agit peut-être alors du dernier cris que pousse un des villageois de Mérégua qui meurt peut-être sous le nombre de ses assaillants, étrangers cruels ou amis désespérés en quête d'argent, de nourriture...
Plusieurs petites barques sont construites pour que les habitants s'échappent de cet enfer et en quelques jours elles sont amarrées.
Les jeunes zafaras observent avec curiosité tous ces bateaux, impressionnés. La plus jeune, cette petite zafara turbulente au poil sombre, a une folle envie de les voir de plus près, de les visiter. Elles sont si étranges. Sa mère lui avait dit qu'elles les emmèneront loin d'ici, et qu'après, elles et le père de la petite retourneraient dans un endroit magnifique, celui qu'elle lui décrit chaque soir ou presque.
Chaque barque peut contenir quatre à six personnes, soit plus ou moins d'une famille. La traversée dura plusieurs heures avant que la première barque n'atteigne un passage assez étroit pour qu'une seule d'entre-elles puisse passer. Lentement, la file passe à travers ce chemin sculpté par le temps et la nature, au son du clapotis de l'eau au loin.
Avant que les dernières barques ne pénètrent dans le passage de glace, un éboulement secoue le flots et le courant renverse plusieurs barques dont celle où était placée la petite zafara, endormie voilà déjà quelques heures dans les bras de sa mère, fatiguée d'observer les stalactites si brillants et bercée par les histoires de la zafara couleur de ciel. Le bruit l'éveille et, avant de comprendre quoi que ce soit quant à ce qui lui arrive, elle se retrouve noyée par le froid, humide et impitoyable.
Elle se réveille bien plus tard, blottie contre une grande hybride à la fourrure fauve, dorée de quelques poils scintillants, qui l'avait sorti de sous le fin cristal de la rivière, plus loin. Le froid avait bien pu «geler», entraver peut-être à jamais une partie de ses pouvoirs mais la Mort n'avais pas pu prendre la vie de la petite déesse aux grands yeux couleur d'améthyste.

Ses passions : Les batailles dans la neige et la neige elle-même. Elle aime tout ce qui brille et elle regarde parfois des heures les étoiles, sur les arbres ou sur les toits, en rêvassant. La petite est passionnée par les histoires et les écouterait jusqu'au bout, même en dormant. Apprendre est aussi une des occupations qui n'est pas des moindres pour la jeune enfant : apprendre, toujours et encore plus, tout et même davantage ! Elle s'est créé une véritable passion pour l'inconnu.
Nolshira aime enfin et particulièrement poser des questions plus ou moins embarrassantes sur tout les sujets existants en guise de présentation ou de première discutions.
Ses aversions : Elle a un certain vertige. La guerre, la vraie, celle qui tue, elle la tient en une horreur telle qu'il lui faut du temps pour pardonner ceux qui y ont participé.
Point faible : Elle n'aime pas se battre, et elle cherchera toujours à parlementer... à moins que vous ne la mettiez à bout.
Elle très peu endurante sous une chaleur de plomb. Ses pouvoirs de magicana sont incomplets.
Point fort : Elle sait très bien se cacher. Fuir, aussi. Très maligne. Déesse, elle est immortelle.

Liaisons :
Amis : Minla, Drako
Meilleur ami :
Ennemi(s) : Ceux qui se battent
Neutres :
Connaissances :
Amant :
Amoureux :
Famille : Ses parents, sa ribambelle de cousins de tout les degrés possibles et imaginables, ...

Objet : Sa mère lui avait offert un petit collier ; une améthyste polie attachée à une chaîne en argent par une agrafe semblable à une queue de zafara, en argent, elle aussi.

Compagnon :
Prénom : Minla (?)
Surnom : Mimi
Résumé :
Nolshira l'a toujours connue en grande hybride solitaire, mais ses instincts maternels sont bien développés comme elle finira par le remarquer, et elle s'énerve assez facilement lorsqu'on lui parle de famille.
Elle s'éloigne toujours du sujet lorsqu'elle le sent en approche et reste ensuite tendue tout le reste de la discussion. Assez distante avec la petite quand vient le printemps.

Code : Ok (validée par Axie)

Dis, cest un double compte ? (je suis trop nulle pour deviner ca >___<)

En tout cas, bienvenue, les fautes dorthographe je nen vois pas de flagrantes !
Je ne suis pas modo, mais je crois que tout est ok...
Bon, et je me ridiculise totalement si cest pas un nouveau compte XD
Welcome Niiz !

Trop geniaux les dessins !! Felicitations !!
Mais la signature est un peu grosse, ca deforme la page, cest dommage, elle est si jolie n_n

Ah bon ? Elle déforme la page ?
Aaaah... Zut et rezut TT-TT
Merci de ton acceuil chaleureux et ton compliment sur mes dessins -^^-
Je vais attendre la validation...

Salutations distinguées
Malheuresement, je ne suis pas modo non plus, mais si tu as tout respecté (j'ai la flemme de vérifier), tu devrais être validée sans problème

(Nouveau/Nouvelle ou double-compte ?)

Je ne sais pas si Arielle voudra d'une cousine. Tu devrais en discuter avec elle.

C'est ce que j'ai fait une fois inscrite, et, si l'histoire lui convient, elle a dit que c'était ok...
(Je suis nouvelle ^^'
**Je stress, là...**)

On en a déjà parlé mais s'il vous plaît ne lui dites rien sinon elle va aller la chercher et on ne la reverra pas avant XP

Ça peut très bien être une cousine puisque qu'on ne sait rien de la famille de sa mère, et puis ça explique si elle est Déesse: Elles descendent de Dresla toutes les deux ^^

Alors ça veut dire que ma fiche est validée ?

Bienvenue !
Ah, de la famille à Arie, ça fesait longtemps !

Validée Nolshira ^^

Merci beaucoup !

Dans ce cas, bienvenue dans la famille, tu es donc ma... heu... ^^'

Grande petite cousine ^^

Oui, voilà =D