Une petite semaine apres.. ^^

"Plus que tout... aprè c'est toi... le plus grand Traceur, non?"

Prévenir Arielle? Bien sûr! Warui n'allait pas laisser Amos la tuer! Et rendre orphelins de mère ses enfants! Mine de rien, Warui tenait à ses neveux.

Avant elle était une Déchue mais s'était tellement adoucie, c'en était effrayant alors qu'elle voulait vivre dans unendroit de paix et pensait au bonheur de sa soeur, capable d'obéir à tout les moindres désirs d'Hideki pour reter avec lui. Cpable d'obéir à tous ceux qui pouvaient lui faire du mal. Un vrai petit chien bien dressé mais Warui ne s'n rendait pas compte.

"On s,enfuiera... on avertira Arielle... et on se battra pour notre liberté..."

"Je ne dis que la vérité pure et simple..."

Elle baissa les yeux, craignant d'avoir fait une gaffe. Certaine d'en avoir fait une. Elle replia ses bras contre elle, gardant sa queue autour d'Hideki.

"Tu... tu... tu sais bien... que c'est... toi... pour ne pas... vaoirété... puisé par... ton premier... origami..."

Elle cacha son visage dans ses bras. Elle l'avait contredit. Il allait lui crier dessus ou la frapper? Ou encore prendre le couteau qu'il avait ramené pour la blesser, tout en insonorisant la pièce pour que personn ne l'entende...

"Ou alors le professeur qui l'avait mentionné la semaine dernière quand il m'a raconté ton histoire... ou alors j'ai fouillé ton esprit et ça fait longtemps... je me souviens plus...

Il l'avait embrassée pour la rassurer à et ce baiser elle répondit en se ramollissant et en le prolongeant. Puis se laisser sur Hideki, dans ses bras, bien au chaud. Ça vous changeait les idées après une journée à vler, de rtourner dans les bras de celui qu'on aime.

"Il m'a dit tout ce qu'il savait sur toi, ce qu'il avait fait avec toi...."

Mais avec tout ce qui s'était passé depuis ça c'était embrouillé. Elle ne savait plus comment elle avait su tout ça et c'était flou dans sa tête.

Pourtant. Il ne lui semlait pas vrament avoir entendu ce bout-là ou s'introduire dans l'esprit d'Hideki. Elle était.

"Je... je.. je...", répétait Warui en essayant de se souvenir sans y parvenir.

Elle regarda Hideki dans les yeux. Non elle ne voyait plus. Elle aurait bien voulu répondre mais elle ne voyait plus quoi.

Warui ne savait rien pour la voix. Le profeseur ne lui en avait pas parlé il lui semblait et fouiller l'esprit d'Hideki ne l'enchantait guère. Alors elle se mélangaient. Warui vailla un peu. Elle avait le tournis. La chambre commençait à bouger toute seule, ce qui l'inquièta. Elle se colla le plus possible contre le jeune blond, regardant partout. ne comprenant rien à ce qui se passait. Et sa grande fatigue, son envie de sommeil de toute la seaine. Elle se laissa tomber contre Hideki, à peine si son oeil rouge n'était pas transparent.

PLus elle regardait la pièce plus ça tournait et lui donnait mal à la tête, tête qui était lourde de fatigue, comme le reste de son corps. Elle entendait mal, comme des sons déformés, déformés comme les imagines qu'elle voyait. La Hidki la secouait. Ça accentuait. Warui eut un hoquet. Et finit enfin par regarder le Traceur qui, elle pensait le voir, s'inquiètait pour elle. Elle tenta de paler mais ne put articuler correctement. Elle réessaya à quelques reprit ses avant d'y arriver:

"Hideki... tout tourne... qu'est-ce qui se passe?"

Elle ferma les yeux et se tut. La queue molle sur le planher.

Hideki cessa de la secouer, ça lui donnait un peu de répit. Warui n'ntendit pas vraiment ses premières paroles mais je sentit soulevé posée contre le mur pendant que sa tête tombait sur le côté. Hideki revint avant de la trouver affaler par terre. Elle s'étouffa un peu avec la première gorgée d'eau mais le reste suivit bien et elle termina le verre. Juste ouvrir les yeux un peu... mais ça restait pareil avec son oeil vitreux et son front qui commençait à devenir chaud sa malnutrition volontaire. Elle manquait de beaucoup de choses comme la vitamine C par exemple, ou l'acide folique... ou encore en sommeil. Elle n'avait pas dormi depuis une semaine ni mangé non plus Adossée contre le mur, Warui avait une respiration sifflant et le corps endolori. Elle ouvrit les yeux. Bien qu'elle eut du mal à la distinguer, elle voyait Hideki.

"'nuit..."

Elle referma les yeux.

Warui n'avait aucun repas sauf les quelques bouchées de ce soir. Sentant Hideki près d'elle, elle se colla contre lui pour plus de réconfort et de chaleur. Elle avait froid. Bien que la température ambiante fut chaude. Elle claquait des dents. Mais pas seulement à cause de la fièvre.

Elle était une grotte sombre et assez grande, assise, attendant, se demandant où elle état et pourquoi. Il y avait une fontaine plus loin. Elle s'en approcha à quatre pattes pour regarder. Elle voyait des volutes de fumée, des morts, d'aui agonisaient, des blessés et Amos, tel qu'il était avant de perdre son corps, sur un Dragon Noir, le Poignard à la main. Face à lui se tenait Arielle. Warui se mit à crier lui dire de décamper mais la Reine n'entendait rien. Amos la pris par surprise par surprise et lui en fonça le Poignard en plein coeur. Warui hurla à la mort. C'était de sa faute si sa soeur était morte à présent. Amos était devant elle, tenant la main d'Arielle à la main.

La zafara se réveilla en sursaut. Comme il fiasait sombre dans la chambre, elle se croyait aux Mondes Infernaux. Craignant qu'Amos n'arrive.

Alors elle n'était pas aux Mondes Infernaux? Elle était encore dans la chambre. Même aveuglée par la lumière soudaine elle avait tout reconnu. Il l'avait pas encore appelée. Mais elle restait terriblement anxieuse. Elle se jeta dans les d'Hideki pour y pleurer un bon coup, ses larmes se mêlant à sa sueur d'être malade.

"Arielle... Arielle... Arielle..."

Elle déglutit.

"J'ai peur..."

Warui avait été dans des situations bien pires que celle-ci. À Koori par exemple, quand elle était ensevelie sous la neige. Là elle était mal. En ce moment elle se disait un peu fatiguée. Rien de plus.

"En sécurité... Arielle est en sécurité..." dit Warui pour essayer de se rassurer et de ne pas céder à la panique.

L'air de rien, mais elle tenait à sa grande soeur. Pas autant qu'à Hideki mais elle y tenait quand même. Celui-ci s'était à nouveau éloigné pour aller un fruit. Elle le prit d'une main frêle mais ses bras tremblaient tellement qu'il lui échappa. Elle le reprit plus d'une fois et eut droit au même scénario. Mais elle ne voulait pas d'aide pourtant.

Warui finit par avoir une poigne plus ferme. Elle finit par tenir le fruit sans l'échapper quand Hideki s'asseya à ses côtés. Elle se blottit contre lui. Elle fixait le fruit.

"Il était su un Dragon... un Dragon Noir... il avait le Poignard... Arielle était face à lui... il l'a poignardée... j'étais aux Mondes Infernaux... il... il... il avait gardé sa tête... j'ai rien pu faire..."

Elle laissa tomber le fruit, sous le chox. Ses épaules tressautaient et il était difficile de se calmer.

Arielle était puissante. Elle avait placé des sorts pour protéger son Royaume. Et empêcher les ennemis d'entrer. Ce qui était difficile de ne pas faire entrer Warui. ce qui revenait, avant, à ne pas faire entrer Arielle. Mais passons ce détail. Hideki avait raison sur tous les points. Ilavait toujours raison. Warui étaitencore plus fragile que lui. Ou presque. Elle avait si peur, elle perdait ses moyens. mais le ton rassurant d'Hideki faisait son effet. Elle l'écoutaitet trouvait ses pensées non réalistes. Elle prit le fruit pour la centième fois au moins, et finit par prendre une bouchée. Elle grignotait plutôt pendant que sa gorge se désserrait. Ça faisait du bien de amnger quelque chose.

Warui venait de retrouver un semblant de tranquilité, ce n'était pas le moment de la faire rechuter maintenant qu'elle mangeait enfin comme un enfant qui a peur de perdre une miette et que chacune de ces miettes valait beaucoup pour lui. Voilà l'image qu'offrait la Zafara. Une fois le fruit finit, elle garda les bras repliés contre ele fixer les couvertures. Elle en un autre avec lenteur et le mangea lui aussi, en silence. Elle avait besoin. Certes ils avaient l'argent mais ils devaient avoir la santé aussi. Ce qui lui manquait en ce moment. Peut-être encore quelques jours de plus et ils pourraient partir. Elle aurait du se nourrir. Il n'aurait pas été obligé d'attendre sa guérison pour qu'ils puissent lever l'ancre.