Coucou c'est nous!

Cirrus se tourna vers Arielle et voyait qu'elle avait lâchait sa fille, mais quand elle la rattrapa, le prince fut soulagée. Mais il sursauta quand le vase se brisa et Axias se colla contre sa mère, apeurée.

- Je te comprends Arielle, mais ce n'est pas grâve, il vaut un vase qu'une personne. . .

Le Zafara prit Axias qui avait écouté sa mère. Cirrus la mit dans son landau et lui donna un jouet à mordre.

- Espèrons qu'elle ne mordera plus les gens, mais elle mord plus souvent pour la colère et la faim. Elle a compris qu'il faut machouiller ses jouets pour s'amuser. . .

Cirrus pensait qu'Axias avait quelque chose de sa mère, mais en même temps, c'était la première Magicana des Astres. Cela venait-il de lui ? Ou de Céosus ? Oui, peut-être les Dieux l'avaient choisie pour être la première, mais le prince ne pensait pas que c'était par hazard, il sentait que quelque chose allait se passer dans la vie de sa fille.

Le Zafara regarda Arielle, il voulait sortir pour contacter Céosus.

- Je vais sortir un peu prendre l'air au balcon. . .

Cirrus le fit et respira l'air fraiche du matin. Il entendit soudainement une voix :

- Nous n'avons pas choisi Axias par hazard. . .

- Pourquoi l'aviez-vous choisi alors ?

- Tu le sauras dans quelques années. . .

Le prince n'entendit plus rien, mais il voulait savoir !

Quand Axie prit peur, Arielle le tint serrée contre elle pour la rassurer en lui murmurrant à l'oreille.

chut chut chuuuut... ça va aller. Ce n'est pas dangereux. Ça ne te fera pas mal...

Elle laissa Cirrus la reprendre pour la remettre dans son landau. Azera suça son pouce gauhe, gauchère, la seule, les autres étant droitiers comme leur père. La nouveau-née se blottit contre sa mère encore une fois et s'amusa à lui tapoter le museau et les cheveux. Arielle faisait semblant d'avoir mal mais elle avait un sourire pour montrer à sa fille qu'elle jouait.

Azera finit par lui faire une étreinte. Et, soudainement affamée, lui demanda le boire. Comment résister à cette petite frimousse... Azie eut ce qu'elle voulait. Elle ronronnait tout en tétant. Puis n'eut plus faim et s'endormit après son rot. Arielle se leva enfin et la ramena dans son landau.

Elle rejoignit Cirrus. Elle n'avait pas entendu Céosus et ne se doutait pas des questions de son futur mari. Elle regarda la ville. Pensant que d'y aller lui ferait du bien. Elle était au château sans sortir depuis deux bons mois.

Cirrus? Est-ce que ça a changé la ville depuis deux mois? On ne voulait pas que je sorte

Axias commençait à s'endormirent avec le jouet entre ses bras. Cirrus regarda le Ciel, tant dis qu'Arielle était en train de fixer la ville.

- Non, elle est restée toujours aussi belle. . .

Le Zafara regarda Arielle avec un sourire.

- Est-ce que tu voudrais revoir Nicara, le château est reconstruit.

Cirrus baissa la tête, il voulait dire à sa bien-aimée les choses à propos de leur fille, mais il ne voulait pas perturber sa famille.

- Au fait Arielle. . . Tu sais déjà qu'Axias est la première Magicana des Astres, mais les Dieux ne l'ont pas choisie par hazard. Céosus m'a dit que quelque chose va se passer des années plus tard. . .

J'aimerais bien revoir Nicara... ça fait plus de dix ans que je ne suis pas retournée au palais... revoir ta chambre... le hall... les escaliers... tous les endroits où on allait quand on était encore... innocents...

Arielle aurait aimé dire la vérité à Cirrus à propos d'elle. mais comment. Le sujet dévia sur Axias.

Je ne sais même pas si... je suis ici par hasard... on dirait que tout est décidé à l'avance... même ma vie... comme un jeu... où on découvre les règles en jouant... et où l'une d'elle... est une menace qui plane sur notre famille... les enfants, toi et moi... mais j'aimerais être dans un coin isolé pour tout te dire...

Elle entraina Cirrus avec elle jusqu'au Jardins. Elle le fit s'asseoir avec elle sur un banc.

Je ne suis pas la Déesse que tu crois... tu vois la gardienne de Nascarian devant toi, ta future Reine et la mère de tes enfants... mais j'ai une autre facette... dont je ne suis pas fière...

- Je pensais à toi aussi, tout cela m'inquiète et je ne pense pas qu'on sera tranquille pour longtemps. . .

Cirrus suivit Arielle, que voulait-elle dire ? Il l'ignorait, mais il espèrait que c'était une bonne nouvelle.

- Qu'est-ce que tu veux me dire, je ne comprends pas. . . Est-ce une bonne nouvelle ou. . . une mauvaise.

Mais le prince voyait bien que ce n'était pas une bonne nouvelle, Arielle avait l'air triste de lui annoncer. Elle n'était pas fière d'être quoi ? Une Déesse ?

- Dis-le, de toute façon, rien ne détruira notre amour. . .

Les deux jumeaux avaient laisser Cirrus et Arielle seuls. Zyran nettoya comme il le pu la langue de Caleb avec une fine pluie mais le bébé essaya d'attraper le petit nuage et il pris plus une douche qu'autre chose.

"Zorack, tu peu venir le sécher s'il-te plaît?"

Le Zafara noir se leva et invoqua de toutes petites flammes juste assez chaudes pour sécher Caleb.

"Tiens prend le!"

Et avant que Zorack n'ai pu dire un mot, Zyran lui colla la boule de poils saphir dans les bras, boule de poils que Zorack tenait à bout de bras, le plus loin possible de lui.

"Reprends le, j'en veux pas!"
"Non tu l'as, tu le garde!"
"Zyran!"
"Zorack!"
"Zyran..."
"Zo!"
"Bon d'accord!"

Avec une extrême lenteur, le Zafara noirs apporta le bébé jusqu'à lui, ayant déjà goûter les dents d'Axias il n'avait pas envie de recommencer avec celui la.
Le petit Areuh, suivit d'un Brouh plein de bulles fini de convaincre le Zafara noir que celui là ne mordait pas, du moins pas pour le moment.

"Je le trouve différents des autres, pas toi?"
"Probable, il bave un peu plus et me regarde bizarrement, pourquoi qu'il me fait des grands yeux ronds?"

Arielle voulait tant. Mais avait si peur de le faire.

Je... je ne veux pas qu'un autre le fasse avant moi au mauvais moment... je m'étonne que Céosus ne t'ai rien dit à ce sujet. Cirrus... je... je suis...

Son oeil rouge se ternit jusqu'à devenir rouge sale. Elle se leva, dos au prince, les bras serrés, Une larme roula sur sa joue dorée avant de tomber dans l'herbe. Elle regarda Cirrus, piteuse.

Je ne suis pas... une Déesse du Bien... pas au sens propre... Cirrus... je suis une Déchue!

Elle tomba à genoux et sanglota, fixant le sol vert.

Mais je... mais je ne suis pas une vraie Déchue non plus... je renie mon appartenance... mais je suis pas aussi mauvause qu'Amos, Cinn et les autres... mais je... Dresla et moi... avons des crises... et nous devenons... agressives... nous changeons de personnalité. Mais c'est très temporaire. Au moins cinq minutes...

Arielle releva la tête.

Vas-y... renie-moi SmawilNyra...

Dans la chambre, Azera, sous la surprise de Caleb avec sa douche, s'était réveillée. Elle regardait son frère qui avait une moue à attendrir un taureau enragée. La petite princesse émit un areuh pour qu'on la prenne elle aussi. Elle aimait bien les jumeaux.

Zyran se retourna, il avait entendu un Areuh et le Areuh en question venait de la petite Azera.
Zyran se pencha sur son berceau et la pris dans ses bras.

"et ben on est jalouse?"
"T'approche, un ça va, mais pas deux!"
"t'inquiête fréro."

Zyran chatouilla du doigt le ventre d'Azie.
Il invoqua une ou deux animaux d'eau et Zorack leur fit des crinière et des sabot en flammes non brulantes, il y avait un pégase avec des ailes de feu et une licorne dont la corne était faite en écume.
Zorack posa Caleb histoire qu'il joue un peu. Zyran lui observait Azera en se demandant si ces parents lui avaient transmit un quelconque pouvoir.

Voyant que c'était une mauvaise nouvelle, Cirrus se leva et posa la main sur l'épaule d'Arielle. Mais il la vit qu'elle se mit à genoux devant lui. Il ne voulait pas voir Sylian comme ça, sa futur Reine était une Déchue. . . Le Zafara se mit à genoux et se jeta dans les bras d'Arielle, des larmes coulèrent sur ses joues argentées. . .

- Pourquoi me l'as-tu pas dit avant ? Je comprends pourquoi tout le monde veut ta peau. . . mais la question que je me pose maintenant, c'est pourquoi es-tu Déchues, Dresla et. . . toi. . .

Cirrus se leva et regarda le Ciel, la pluie commençait à tomber.

- J'ai peur. . . très peur. Ces histoires me trotent dans la tête depuis que j'ai appris que tu étais Déesse. J'ai déjà peur pour ma soeur qui est malade. . . qui est seule à Fabulya. . . qui meurt de faim et qui souffre jour et nuit. . .

Le Zafara se tourna vers la route qui va vers Nicara.

- Je ne peux pas rester ici. . .

Le prince courut, il voulait être seul. Il avait toujours peur des Déchus. . .

Axias dormait à point fermait, mais elle se réveilla quand elle entendit Azera. La petite Zafara siffla pour que ce bazard s'arrête. . .

Azera se mit à rire. Elle était chatouilleuse la petite.

Non arrête! Ça chatouille! dit-elle au Zafara Blanc.

Voyant Axias, elle siffla à son tour. Pour lui dire qu'elle voulait au moins jouer un peu. Après elle se recoucherait.

Arielle toujours à genoux, se releva brusquement, regardant Cirrus, la gorge serrée.

Voilà! Voilà pourquoi je ne te l'ai pas dit avant! Tu vois ce que tu fais? ce que tu dis? Pourquoi je te l'aurai dit avant si c'est pour me parler ainsi?

Voyant Cirrus partir, elle ne put retenir un long cri de peine et de souffrance. Elle porta son regarda sur sa fenêtre. Elle disparut dans un éclair bleue pour y aller et se coucha dans son lit, puisque les enfants étaient dans une autre pièce. Elle remonta sa couverture sur elle, les yeux inondés de larmes. Elle gémit. Azera ressentit sa peine et se montra beaucoup moins joyeuse. Elle se téléporta jusqu'à sa mère pour savoir ce qu'elle avait. Arielle la serra contre elle en sanglotant.

*Cirrus...*

Sa peine fut remplacée par la colère.

*Vas-y... vas-y part! Part au loin! Va te cacher dans ton palais! Vas-t-en! Laisse-moi les enfants! Traître... tu n'es qu'un traître Cirrus! J'ai supporté... treize ans de solitude... de privation... trois ans à mendier comme une clocharde... à me faire battre... j'ai enduré la glace de Zéphira... la lave d'Omlid... j'ai enduré Cinn... je me suis presque battu à mort à Amsya et je me suis mesurée à Krystale! Et toi qu'as-tu fait? RIEN DU TOUT!!!! J'ai tout enduré! Pendant neuf mois j'ai porté nos enfants! La faiblesse... et toi... toi tu t'en vas... parce que j'ai gardé le secret! Sans que je puisse m'expliquer!!!*

Arielle recommença à sangloter dans son oreiller. Elle n'avait jamais été triste depuis le jour où elle avait appris que Cirrus avait été enlevé... Arielle voulait mourir... mais il y avait les bébés... Elle se roula en boule avec Azera dans les bras. La petite pleurait elle aussi.

Je suis désolée Cirrus... d'être ce que je suis... de t'apporter le malheur depuis tout ce temps...

Arielle prit sa fille avec elle et laissa un mot aux jumeaux qu'elle leur envoya par magie, disant qu'elle était partie de l'enceinte du palais avec Azera. À la tombe royale.

Viens Azie... on va faire un tour... seulement nous deux

La princesse sortit du château. Et marcha sans s'arrêter jusqu'à la tombe de sa famille, au centre du cimetierre de la ville. La tombe, haute, ornée de l'emblèeme familiale, se dressait bien en vue. Arielle s'agenouilla et la regarda en silence. Cirrus ne pouvait partir ainsi... il avait dit que rien ne l'éloigneriait d'elle. Et il était partie. Arielle était convaincue qu'il était bien parti, pour toujours. Qu'il l'avait laissée. Qu'il allait trouver une autre femme. Qui ne serait pas maudite. Arielle recommença à verser des larmes d'argent qui brillaient sur le sol. Elle fixa le ciel.

Je n'ai pas choisi ma lignée... je n'ai pas choisi... rendez-moi Cirrus... je ne lui veux auncun mal... je ne veux pas faire le mal. Je veux juste protéger mon Royaume... je veux juste vivre avec lui... partager ma vie avec lui... est-ce trop demandé? Est-ce trop demandé de vouloir une vie normale?

Si zyran fût étonné quand Azera lui parla mentalement, il le fut encore plus quand la petite Zafara se téléporta d'un coup, Le Zafara laissa échapper un cri de surprise avant de s'envoler à tire d'elle dans le palais.

(où tu vas!)
(chercher Azera!!!)
(Zy...)

Et là Zorack se ratatina, il était seul avec trois BEBE zafara il regarda Axias machuoiller son jouet, il aurait juré qu'elle l'avais regarder avec envie. Caleb jouait doucement avec la licorne, lui chatouillant le nez du doigt, Zorack l'anima et le bébé, sous l'effet de la surprise en tomba à la renverse avec un "Geuha!" sonore.

Le zafara noir le releva en douceur et l'amusa.

Zyran lui déboula dans la chambre d'Arielle comme une ornade et frein juste attend pour ne pas rentrer dans le mur.

"Oups"

Il arrivit mal à parament.

[Heu. . . Azera n'est qu'un bébé, donc elle ne sait pas se servir de ses pouvoirs !]

Avant de partir, Cirrus réussit à lire dans les pensée d'Arielle, il avait tout entendu. Le Zafara partit, la pluie tomba à verse. Il se trouva maintenant dans la Grotte du Ciel, en colère et triste à la fois. . .

*Elle ose dire que je n'ai rien fait ? J'ai passait dix ans au service de Xiao, j'ai souffert. Et quand j'ai appris son arrivé à Fabulya, je me suis mis à sa recherche. Xiao à failli me tuer à cause d'elle, je l'ai protègeait de tous les dangers quand elle n'était qu'une Zafara Amnésique. Et voilà tout ce que je mérite !*

Cirrus se leva, en colère et il regarda le Ciel, puis il partit.

- Où vas-tu ?

- Je vais à Fabulya, m'occuper des choses qui me regardent. 'Y'en a marre de ces histoires de Dieux Déchus !

Céosus ne répondit plus, il comprenait le prince. Cirrus allait trouvé une femme qui était encore plus faible qu'Arielle quand elle était Amnésique : Célesta. Sa soeur qui lui ait chère. Il alla donc au port, fit ses bagages, mais il regarda Nascarian, une dernière fois. . . une larme coula et tomba sur le sable. . .

- Je suis navré mes chers enfants. . . navré que vous n'allez plus voir le visage de votre père. . .

Puis il regarda les côtés de Fabulya.

- Tout cela ne serait pas arrivé si tu n'avais pas annoncé que tu étais une Déesse. . . Mais. . . je t'aime Arielle. . .

Cirrus dessina sur le sable, un coeur transpercé par une flêche où était marqué à l'interrieur Arielle et Cirrus. . . Puis il monta dans la barque et naviga vers Fabulya. . .

* J'arrive. . . Célesta. . . *

Du côté d'Arielle, Céosus répondit à la princesse :

- Cirrus est parti à Fabulya. . . Mais il est tellement fragile et il a bien vu ce que c'est qu'un Dieu Déchu. Il a peur de toi maintenant et il se sent rejeté par ce que tu viens de penser. . . tu as eu tort. . . Cirrus t'avait protégeait quand tu étais amnésique et il était parti à ta recherche quand il a appris que tu était à Fabulya. . . Maintenant, il va à Fabulya pour chercher un être qui lui ait très cher. . . sa soeur. . .

La pluie tombait de plus en plus et l'orage éclatait violemment.

- Tout ces malheurs n'arrivent pas à cause de toi, ni de moi, ni de Cirrus. . . Mais à cause de Célesta. . . sa maladie qui porte malheur à n'importe qui. . .

Azera babillait pour essayer de faire soure sa mère qui affichait une mine de morte-vivante. Elle avait entendu Céossus. Elle poussa un autre cri encore plus long, plus perçant et plus fort.

CIRRUUUUUS.....

Puis elle se releva. Retourner dans sa chambre avec ses bébés. Et attendre... comme avant. Attendre que Cirrus ait retrouvé sa soeur et qu'il vienne la voir pour lui dire qu'il s'en allait, qu'elle ne valais rien. Arielle gémissait comme un chien meurti par ses blessures. Elle avait la gorge serrée. Elle ne pouvait parler. Elle pouvait juste pleurer. Cette sensation que l'on était plus bas que les autres, que l'on était au fond d'un trou si profond que personne ne pourrait nous en sortir, un trou ou les bons sentiments de viendraient jamais. Un trou noir et silencieux où rares étaient les signes extérieurs. Où seuls régnaient les vôtres.

Arielle fit apparaître des ailes bleues pour protéger sa fille de l'orage, regardant droit devant elle. Cirrus... ne plus sentir ses mains sur elle, ne plus le voir sourire, ne plus l'entendre dire qu'il l'aimait à la folie, ne plus voir ses yeux brillant de bonheur quand il ne cessait de regarder ce qui avait été un ventre rond abritant quatre vies. Arielle se roula en boule sur le sol, fermant les yeux, gémissante sous la pluie.

(*Cirrus* Treize ans à te chercher... treize ans... moi aussi j'ai souffert... toi tu n'as pas essayé de t'empoisonner ou de rester dans la glace... toi tu croyais fermement qu'un jour tu me reverrais... moi j'avais abandonné... parce que je t'aime toujours... Cirrus... j'ai parlé sans penser... je ne voulais pas penser tout ça je te le jure... Cirrus... je t'aime encore... j'étais frustrée... pardonne-moi... Cirrus... je ne suis pas du Mal... je suis toujours du Bien... je suis Déchue parce que je veux pas vivre au Monde Céleste... Déchue parce que je veux pas avoir de contacts avec les autres Dieux... mais... je... je n'ai rien d'aute à dire... juste... pardon... et... Cel me manque à moi aussi. Moi aussi je veux la revoir. Même si elle apporte la malheur. C'est ma belle-soeur. Ma famille)

Arielle se redressa. Gardant ses ailes pour se protéger de la pluie. Elle ramena Azera et lui embrassa le front. Elle revienderait. Azie gazouilla. Elle ne voulait pas. Mais sa mère partit. Le petite resta avec les autres. Elle se mit à pleurer en criant. Elle voulait sa mère. Arielle courut jusqu'à la Grande Mer. Cirrus! Arielle déplya ses ailes qu'elles avaient gardées. Elle s'envola, laissant son ombre montrer qu'elle était. Elle se mit devant lui.

J'y vais avec toi... tu ne retrouveras pas ta jumelle sans moi...

Cirrus s'arrêta de ramer, les vagues étaients fortes, mais cela ne le dérangeait pas, il était dans ses pensées. Il avait vécu treize ans sans elle, il avait pleuré jusqu'à ce qu'il entende un jour, à Fabulya, qu'elle était là-bas.

- Je dois récupérer ma soeur, même s'il veule la tuer. . .

Le Zafara était triste, c'était encore pire que quand il avait été séparé d'Arielle, encore que quand il avait rencontré Calypso, encore pire que quand il s'était battu contre elle alors qu'il était contrôler par Amos, encore pire que quand elle était amnésique. . . Il n'avait plus la force de ramer, il avait le choix : Arielle ou Célesta. Il ne savait pas. . . il était perdu. Mais soudain, il entendit une voix par télépathie. . . Arielle. . . Après avoir entendu cela, il se laissa tomber sur le dos. . .

° J'avais passait treize ans chez Xiao, à me faire battre, griffer mordre par cette Drako. . . treize ans à te chercher moi aussi. . . et quelques mois plus tard, je t'avais dans la Forêt de la Licorne, un endroit qui me marque beaucoup. . . On a passé ensemble au fond des bois, je t'ai protéger quand tu étais Amnésique. . . Je voulais vivre paisiblement avec toi. . . les enfants et. . . ma soeur. . . Je te pardonne Arielle. . . °

Soudain, il vit une ombre bleue passer au-dessus du bâteau, c'était Arielle. . .

- Allons-y ! Mais les vagues sont vraiment fortes !

[Désolé pour le mini texte, je dois partir au collège -__-]

La princesse, enfin soulagée et redevenant la zolie amoureuse tendre qu'elle était, se laissa tomber dans la barque en repliant ses ailes. Elle examina le bateau. Puis regarda Cirrus, un sourcil haussé.

Heu... pourquoi tu prends la Mer si tu peux voler... et te téléporter? Tu pourrais facilement prendre Célesta dans tes bras... il me semble...

Elle donna trois petits coups avec ses jointures. Le bateau ne semblait âtre l'idéal pour traverser la Grande Mer.

Cirrus... c'est une barque de pêcheur... pour rester près du littoral de Néopia... les barques pour traverser la Mer sont plus élaborées...

Elle lui jeta comme quoi il n'avait pas encore su faire la différence après toutes ces années. Un regard moqueur sans vouloir être méchant ou mesquin. Juste... pour le faire rire. Arielle se coucha sur le ventre à ses côtés, la tête sur le torse du prince.

Honnêtement Cirrus... honnêtement... je n'ai rien d'autre à caher... C'était notre secret à moi et Dresla. Elle savait depuis longtemps que j'étais comme elle, que je ne voulais pas aller vivre au Monde Céleste. Peur ceux c'est une raison suffisante. Mais pour ceux du bas non. C'est pas pour rien qu'on plus d'un tître... ils nous appelles les Renégates. Parce que nous ne voulons pas vivre au Ciel et parce que nous ne répandons pas le mal... Je suis désolée de te l'avoir caché... j'avais peur... Cirrus... c'est toi ma raison de vivre. Chaque fois que tu part à Nicara je suis anxieuse et j'angoisse jusqu'à retour... je ne peux pas vivre sans toi...

Cirrus rama tout en écoutant Arielle.

- Fabulya a une grande magie qui le protège des étrangers, donc, la télépartation n'est pas suffisante. . . On doit franchir la grande porte pour rentrer à Fabulya.

Mais soudain, une gigantesque vague arriva droit sur eux ! Le Zafara la regarda arriver, mais juste au moment où elle allait s'écraser sur la barque, Cirrus utilisa son pouvoir de l'air qui retourna la vague.

- Je pourrais faire ça beaucoup des heures ! C'est très amusant.

Le Zafara lui sourit, il ronronna quand Arielle se colla contre lui.

- J'avais quelque chose à te révéler. . . Au combat contre Drako, j'ai sû que je n'étais pas né Magicano. . . Quand elle avait réussi à enlever mon bracelet, je n'avais plus pouvoir. Je suis tellement triste de ne pas être véritablement Magicano. . . Mais Céosus me donne des pouvoirs. . .

C'est pour ça qu'on est passé la porte il y a huit mois...

Arielle déplya ses ailes en voyant la vague venir vers eux mais son amant l'arrêta. Elle souffla. Quoiqu'un bon bain, après la tétée des bébés, était apprécié. Ben quoi? Même un bébé peut refuser de boire à quelque chose de pas propre. Tant pis. Le bain au retour. Dresla leur donnerait la tétée. Elle en était bien capable. La princesse regarda le ciel. Céosus les voyait-ils?

Ramer ça doit vous forcir les bras... mais... tu aurais pu penser à prendre une voile non?

Elle eut un sourire. C'était si agréable d'être avec lui, seul, pour longtemps. Elle fixa un nuage en forme de Lune en croissant.

Et alors Cirrus? ce n'est pas le Magicano que j'aime, ni le prince... c'est le Cirrus au fond de toi... le Cirrus qui se dévoile quand il veut me protéger et me prouver son amour...

Cirrus s'arrêta un peu, il était fatigué, donc il s'allongea et regarda le Ciel. La pluie s'était arrêtée, le vent était légé et les vagues s'étaient calmées. . . Il écouta la mer. Le Zafara eut un sourire timide, il était plutôt sensible à ce genre de compliment.

- La mer est vraiment belle la nuit, les rayons de la Lune la fait brillée. . . c'est magnifique. . . tout comme toi. . .

Le Zafara regarda Arielle puis l'eau, il se demandait si la mer vivait. . . car les vagues étaient violentes quand Cirrus et son amante s'était disputés. Mais maintenant, elle était calme. Le Ciel aussi vivait, c'était Céosus qui lui avait appris, mais la Mer ? La Terre ?

- Tu te souviens dans la Forêt de la Licorne ? C'était la première fois. . .

Zyran n'avait rien compris dutout, le cri d'Arielle lui avait percer à moitier les tympans et quand cette dernière disparue il se retrouva penaud avec Azera sur le lit qui lui tendait les bras avec un air suppliant.

"D'accord... c'est Zorack qui va être ravi de la nouvelle!"

Il pris la petite Zafara bleu dans ses bras et sans plus attendre se téléporta auprès de son frère qui essayait d'échapper aux machoires d'Axias, Il était accroché au plafond et refusait catégoriquement d'en descendre.

"Fréro nous somme officieusement Papa et maman!"

Boum! Le zafara noir tomba de son plafond et s'écrasa au sol, il n'en croyais pas ses oreilles! Quand il demanda pourquoi et que Zyran lui expliqua qu'Arielle était partie avec Cirrus chercher la soeur jumelle de celui_ci, le pauvre Zorack s'effrondra.
Caleb gazouilla et inconsciement Zorack lui chatouilla le ventre d'un air distrait. POURQUOI LUI!!??

Azera ferma les yeux à la chute de Zorack.

Maman dit que sa soeur va s'occupper de nous... jusqu'à son retour... vous vous êtes... ceux qui vont l'aider... enfin... vous êtes mes... oncles... pas mes parents... Maman me laisserait jamais me faire adopter!

Elle renifla d'un air dédaigneux. Non mais...

Arielle, sur la barque, sentait bien que ses enfants attendaient. Surtout la petite dernière. Elle voyait par les yeux d'Azera que Axias s'amusait à effrayer Zorack et cela la fit rire.

Cirrus... si tu voyais Axias... elle est... incorrigible vraiment! Elle essaie encore de mordre Zorack... vraiment...

La princesse était hilare. Elle se calma de bon coeur.

Je me souviens... ça me manque... surtout cette nuit... il ne s'est pas passer un jour sans que j'espère revivre ce moment avec toi...

Elle regarda son prince.

Justement je me disais qu'on avait des rideaux à notre lit...

Elle fronça les sourcils et un grondement amoureux sortit de sa gorge, dévoilant son désir refoulé tout ces mois.

Cirrus rigola, Zorack et Axias, ça ne va pas être facile ! Surtout que celle-ci aimait bien mordre.

- Pauvre lui ! Je sens que notre fille va être une vraie carnivore !

Il se calme lui aussi et regarda son amante. Cette nuit lui manquée aussi. Le Zafara prit Arielle dans ses bras et l'embrassa.

Du côté des jumeaux, Axias voulait sortir du landau. Elle assaya de passer par les barreaux du lit, mais elle tomba à terre et n'avait pas pû s'empêcher de pleurer. Elle avait mal.

Avec la mère qu'elle a...

Arielle accueillit l'étreinte de son prince avec bonheur.

Si tu veux... on est seuls...

Elle commença à ronronner et son oeil rouge se mit à briller comme rubis sous le soleil. Elle grimpa sur Cirrus de sorte qu'il tombe sur le dos, elle sur lui. (Oui elle commence ^^)

Azie regarda sa soeur. Elle babilla.

Axias! Mais pourquoi tu n'as pas attendu que l'un de deux te sorte?

[Il est déjà sur le dos ^^]

Ils étaient seuls, sur la mer. Le Zafara embrassa Arielle (on sait ce qu'ils font ^^').

Axias avait trop mal pour parler, mais elle voulait sortir. Elle s'était fait très mal, mais elle était en colère contre Azera. Elle n'arrêtait pas de dire des commentaires celle-là ! Quand est-ce qu'elle va arrêter ?

Exactement ce qu'elle attendais depuis... depuis la première fois. Comme ça avait été la première fois... l'expérience n'y était pas. Mais essayez de na pas rêver à la même chose que Dresla et vous m'en direz des nouvelles. Arielle adorait cette sensation que projetait dans un bonheur que, sans ça, vous n'atteinderiez jamais. (J'adore en remettre)
***************
Azera cessa tout net de parler. Elle regarda plutôt un point fixe pour passer le temps. Bon sang sa mère n'avait pas pensé à couper leur lien empathique. La petite se demandait bien ce qui arrivait à sa maternelle. Les épines baissées, elle ferma les yeux en suçota son pouce. L'émotion était trop forte pour la repousser. Azera se mit à ronronner comme sa mère au même moment.

Zorack fixait Axais en grognant, il avait le poils hérissé et les épines dorsales en feu.

(*Axias* Toi le machin baveux coucouche panier ou tu vas le regretter!)

Zyran avait toujours azera dans les bras, quand elle se mit à ronronner sans raison, le jeune Zafara commença à se poser des questions, d'un air soupçonneux, il déposa le bébé dans son berceau, il avait comme un doute.

(*Azera* Essaye de dormir, je vais coucher les autres)

Il lui fit un grand sourire avant de prendre Axias et de la coller dans son berceau.

(*Axias* si jamais tu me mord moi ou Zorack, je te fais prendre une douche froide, dors maintenant.)